Attaque d'un bureau de Médecins du Monde à Gaza : une violation du droit international
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Attaque d'un bureau de Médecins du Monde à Gaza : une violation du droit international
A Madagascar, la dernière épidémie de peste pulmonaire remonte à 2017. Le dimanche 29 Août 2021, quelques cas de peste pulmonaire suspectés sont signalés et les premiers cas sont confirmés dès le lendemain au Centre de Santé de Base (CSB) de Miandriandra, district Arivonimamo. A ce jour, 7 décès ont été confirmés et 23 malades sont sous traitement. Par ailleurs 4 autres cas de décès suspects ont été remontés d’une autre région, Haute Matsiatra.
Médecins du Monde France, Action contre la Faim et SOS MEDITERRANEE France mettent en place un partenariat institutionnel et financier. Les trois organisations humanitaires s’engagent pour développer une expertise commune sur le sauvetage en mer.
Ce jeudi 9 septembre 2021, à 14h, la cour d’appel de Grenoble a rendu sa décision dans le cadre du procès des « 7 de Briançon ». La cour a infirmé la décision de première instance condamnant ces 7 personnes solidaires des faits d’aide à l’entrée et à la circulation de personnes en situation irrégulière après avoir écarté la circonstance aggravante de bande organisée.
A l’occasion de la sortie de son rapport annuel de l’Observatoire de l’accès aux droits et aux soins, l’association de solidarité Médecins du Monde, en première ligne dès le début de la crise Covid-19, alerte sur les entraves à l’accès aux soins en France alors que l’épidémie reste préoccupante.
Le collectif Migrants-Outre-Mer dénonce les nouvelles mesures annoncées par le ministre de l’Intérieur et le ministre des Outre-Mer au cours de leur visite à Mayotte entre le 28 et le 31 août dernier, en prévision d’un imminent projet de loi Mayotte.
Jeudi 9 septembre 2021, à 14h, la cour d’appel de Grenoble rendra sa décision dans le cadre du procès des sept personnes solidaires, dites, les « 7 de Briançon ».
Les ONG membres d’Alliance Urgences engagées depuis plusieurs décennies en Afghanistan sont restées dans le pays malgré un contexte des plus difficiles. Elles se sont préparées à reprendre le plus rapidement possible leurs activités humanitaires, essentielles pour des millions de personnes. Une nouvelle fois, elles s’unissent face à l’urgence et lancent, ensemble, un appel à la solidarité.
Le sud d’Haïti a été frappé ce weekend par un puissant séisme d’une magnitude de 7,2. Le bilan grimpe à plus de 1300 morts et 2.800 personnes blessées. Les départements du Grand Sud ont été fortement touchés. Présente à travers son réseau international en Haïti, Médecins du Monde France soutient les personnes impactées par le séisme. Les équipes sur le terrain sont en sécurité, évaluent les besoins et s’activent pour déployer la réponse d’urgence, particulièrement dans les Nippes où Médecins du Monde soutient déjà 4 hôpitaux.
Depuis samedi 14 août, 8h30 heure locale, Haïti vit à nouveau des heures sombres. A l’heure où nous écrivons ces lignes (quelque 48h après le drame), le bilan macabre du séisme de magnitude 7.2 qui a frappé le sud-ouest du pays continue de grimper. Il n’est malheureusement que provisoire. Les services de protection civile du pays font pour l’instant état de 1 297 morts et plus de 5 700 blessés.
Médecins du Monde est favorable à la vaccination de toutes et tous et réclame un accès rapide, sans entrave, pour toutes les personnes présentes sur le territoire national, y compris un accès à une information juste et complète. Tant que la vaccination ne sera pas effective pour tous, le pass sanitaire ne peut être une solution envisageable.
Aujourd'hui sera déposée au Conseil constitutionnel, une proposition de loi référendaire pour l’hôpital public par plus de 185 parlementaires le 7 juillet 2021. Une initiative soutenue par Médecins du Monde fortement mobilisée pour un renforcement d'un système de santé publique universel et solidaire.
Le 30 avril aura lieu une réunion du Conseil des ADPIC (Aspects des droits de propriété intellectuelle liés au commerce) à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) où sera discutée la proposition de l'Inde et de l'Afrique du Sud concernant la dérogation à certaines dispositions de l'accord sur les ADPIC concernant les vaccins et traitements Covid-19. A cette occasion, nos organisations rappellent à la Commission européenne et les gouvernements l’urgence de soutenir cette proposition de dérogation.
Cinq ans après l’adoption de la loi de pénalisation du client, le constat est sans appel pour les associations : loin de lutter contre la traite des êtres humains et de protéger les travailleur.ses du sexe, elle a au contraire précarisé et affaibli ce public déjà stigmatisé. Les conséquences principales sont une augmentation de la violence, un isolement plus grand, une santé fragilisée et un parcours de sortie (qui correspond au volet social de la loi) inadapté aux réalités. Par ailleurs, depuis un an, le COVID a largement aggravé la situation des travailleur.ses du sexe, sans qu’aucune solution à la hauteur du problème n’ait été proposée.
En 2016 une loi abolitionniste est adoptée par l’Assemblée Nationale pour lutter contre la prostitution en France et prévoit la pénalisation des clients. Censée protéger les travailleur.se.s du sexe de la traite, elle n’a fait qu’aggraver leurs conditions de vie.
Le 6 avril 2021, 28 jeunes ont déposé un référé liberté auprès du Tribunal administratif de Marseille pour demander leur prise en charge par le Conseil Départemental. Nos associations qui appellent au respect du droit et des droits fondamentaux soutiennent ces recours. Elles rappellent les obligations qui incombent au Conseil Départemental récemment épinglé par plusieurs rapports sur sa mauvaise gestion de ce public, dont un de la Défenseure des droits. L’accueil provisoire d’urgence de toutes les personnes se déclarant mineures et non accompagnées, est effectivement obligatoire au titre de l’article L.223-2 du code de l’action sociale et des familles.
A la lumière des deux récentes attaques contre des travailleurs humanitaires en Ethiopie, les ONGI humanitaires (HINGO) appellent à la protection du personnel humanitaire et des civils et à favoriser l’aide aux personnes dans le besoin.
En amont de la conférence sur la crise syrienne qui se déroulera à Bruxelles les 29 et 30 mars.
Nous exprimons notre solidarité avec les 10 000 familles de réfugiés Rohingyas touchées par de graves incendies dans les camps de Kutapalong, à Cox's Bazar, au Bangladesh. Les organisations humanitaires et le gouvernement du Bangladesh travaillent ensemble sans relâche pour soutenir les sinistrés.
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